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"Les physiciens ont dit un jour que les abeilles ne pouvaient pas voler... mais personne ne l'a dit aux abeilles, alors ils ont volé de toute façon." Personnaliser texte, couleur arrière - plan et image. Une bourgeoise (également écrite comme bourdon) est un membre du genre d'abeilles Bombus, dans la famille Apidae. Il y a plus de 250 espèces connues, qui existent principalement dans l'hémisphère nord, bien qu'elles soient communes en Nouvelle-Zélande et dans l'État australien de Tasmanie. Les bourdons sont des insectes sociaux qui se caractérisent par des poils noirs et jaunes, souvent en bandes. Cependant, certaines espèces ont de l'orange ou du rouge sur leur corps, ou peuvent être entièrement noires. Une autre caractéristique évidente (mais pas unique) est la nature molle des cheveux (longue setae ramifiée), appelé pieu, qui couvre tout leur corps, les faisant apparaître et se sentir floues. Ils se distinguent mieux des abeilles aussi grandes et floues par la forme de la jambe arrière de la femelle, modifiée pour former une corbicule : une surface concave brillante qui est nue, mais entourée d'une frange de poils servant au transport du pollen (dans des abeilles similaires, la jambe arrière est complètement poilue, et les grains de pollen sont coincés dans les poils pour le transport). Comme leurs proches, les abeilles à miel, les bourdons se nourrissent de nectar et ramassent du pollen pour nourrir leurs jeunes. Selon le folklore du 20e siècle, les lois de l'aérodynamique prouvent que l'abeille boursouflée doit être incapable de voler, car elle n'a pas la capacité (en termes de taille d'aile ou de battements par seconde) d'atteindre le vol avec le degré de chargement de l'aile nécessaire. L'origine de cette revendication a été difficile à établir avec certitude. John McMasters a raconté une anecdote sur un aérodynamiste suisse anonyme lors d'une soirée à dîner qui a effectué des calculs rugueux et a conclu, probablement en plaisantant, que selon les équations, les bourdons ne peuvent pas voler. Dans les années suivantes, McMasters s'est éloigné de cette origine, suggérant qu'il pouvait y avoir de multiples sources, et que le plus ancien qu'il ait trouvé était une référence dans le livre français de 1934 Le vol des insectes ; ils avaient appliqué les équations de la résistance aérienne aux insectes et trouvé que leur vol était impossible, mais que "Il ne faut pas être surpris que les résultats des calculs ne soient pas carrés avec la réalité". Un physicien du crédit Ludwig Prandtl (1875-1953) de l'Université de Göttingen en Allemagne a popularisé l'idée. D'autres disent que c'est le dynamiciste suisse Jacob Ackeret (1898-1981) qui a fait les calculs. En 1934, l'entomologiste français Antoine Magnan incluait le passage suivant dans l'introduction de son livre Le Vol des Insectes : Tout d'abord tiré par ce qui se fait en aviation, j'ai appliqué aux insectes les lois de la résistance de l'air, et je suis arrivé avec M. Sainte-Laguë à cette conclusion que leur vol est impossible. Cela se traduit par : D'abord, sous l'impulsion de ce qui se fait dans l'aviation, j'ai appliqué les lois de la résistance aérienne aux insectes, et je suis arrivé, avec M. Sainte-Laguë, à cette conclusion que leur vol est impossible. Magnan fait référence à son assistant André Sainte-Laguë, mathématicien. Les calculs qui prétendent montrer que les bourdons ne peuvent pas voler sont basés sur un traitement linéaire simplifié des feuilles oscillantes. La méthode suppose de petites oscillations d'amplitude sans séparation de flux. Cela ne tient pas compte de l'effet d'un décrochage dynamique, une séparation de l'écoulement d'air induisant un grand tourbillon au-dessus de l'aile, qui produit brièvement plusieurs fois la montée de l'aérosol en vol régulier. Une analyse aérodynamique plus sophistiquée montre que le bourdon peut voler parce que ses ailes rencontrent un décrochage dynamique dans chaque cycle d'oscillation. De plus, John Maynard Smith, un biologiste réputé et un arrière - plan de l'aéronautique, a fait remarquer que les bourdons ne devraient pas soutenir le vol, car ils devraient générer trop de puissance étant donné leur petite zone d'ailes. Cependant, dans des expériences d'aérodynamique avec d'autres insectes, il a constaté que la viscosité à l'échelle de petits insectes signifiait que même leurs petites ailes pouvaient déplacer un très grand volume d'air par rapport à la taille, ce qui réduisait la puissance nécessaire pour maintenir le vol d'un ordre de grandeur. Une autre description de la fonction d'aile d'une abeille est que les ailes fonctionnent de la même façon que les aubes d'hélicoptère, les "aubes semi-rotatives à pas arrière". Les abeilles battent leurs ailes environ 200 fois par seconde. Leurs muscles thorax ne se développent pas et se contractent sur chaque nerf, mais vibrent plutôt comme une bande de caoutchouc plumée. (Source principale : Wikipedia)